La DGEC (Direction générale de l’énergie et du climat) envisage de corriger le fameux coefficient d’énergie primaire (CEP) appliqué à l’électricité et repris dans le DPE.Figé a 2.58 depuis les années 70 ce coefficient passerai a 2.1
Cela ouvrirait la porte au retour du chauffage électrique peu performant incompatible avec les objectifs français, et en particulier la fermeture des centrales charbon, clairement conditionnée à la maîtrise de la pointe électrique.